Table
des matières:
Introduction
générale
Composition
du groupe
Introduction
des auteurs
Argumentation
Contre-Argumentation
Notre
position vis-à-vis des auteurs
Résumé
de l'interview avec l'expert
Lien
avec le métier d'ingénieur
Conclusion
Bibliographie
Introduction
générale :
Chères lectrices, chers lecteurs,
voici notre travail de philosophie dont le thème était :
" Pouvoir et intérêts de classe, réalisme politique
et critiques des idéologies ". Ce thème étant assez
vaste notre analyse porte principalement sur la notion de pouvoir. Nous
pourrions reformuler le titre de ce travail par les questions suivantes
:
-
Comment les trois auteurs décrivent-ils
la notion de pouvoir ? Sont-ils objectifs ou est-ce une idéologie
propre à leur époque ?
-
Quest-ce qui dans leur thèui dans leur thèse
en,Times">Quest-ce qui dans leur thèse
est encore dapplication dans le système politique actuel ?
Composition
du groupe :
Tout dabord, nous tenons à
insister sur le fait que les débats furent nombreux et animés,
que tout le monde y a pris une part active, et que le rapport final est
une synthèse des écrits et des positions de chacun.
Gauthier Finné
gfinne@student.fsa.ucl.ac.be
Explorateur
Description des tâches
effectuées : Rédaction de la contre-argumentation de
Machiavel, participation au rapport de la philosophie avec le métier
dingénieur et définitions des mots clés, participation
à la rédaction de lintroduction.
Arjun Remacle le p;
djudjun@hotmail.com
Logicien
Description des tâches
effectuées : Présent lors de linterview de lexpert,
participation au rapport de linterview et de la conclusion, participation
a la rédaction du rapport.
Hélène Martin
hmartin@student.fsa.ucl.ac.be
Politique, Graphiste
Description des tâches
effectuées : Rédaction dune synthèse des trois
auteurs ayant servi de point de départ à la partie " argumentation
", présente lors de linterview de lexpert et rédaction
du résumé de linterview.
Vincent Gieling
vgieling@student.fsa.ucl.ac.be
Reporter
Description des tâches
eTimes">Description des tâches
effectuées : Rédaction de la contre-argumentation de
Marx, participation au rapport de la philosophie avec le métier
dingénieur et mise en forme finale, rédaction dun partie
de conclusion, présent lors de linterview de lexpert.
Julien Tuerlinckx
jtuerlin@student.fsa.ucl.ac.be
Secouriste
Description des tâches
effectuées : Rédaction dun résumé des
trois auteurs ayant servi de point de départ à la partie
" argumentation ", rédaction des bibliographies des trois auteurs,
participation au rapport de la philosophie avec le métier dingénieur
François van Damme
fvandamm@student.fsa.ucl.ac.be
Programmeur
Description des tâches
effectuées : Rédaction de lintroduction (définition
des mots clés, contexte historique, bibliographie des 3 auteurs),
particips 3 auteurs),
participation à la rédaction de la conclusion, mise en forme
finale du r conclusion, mise en forme
finale du rapport
Aymeric de Lhoneux cdelhone@student.fsa.ucl.ac.be
Académicien
Description des tâches
effectuées : Rédaction de la contre-argumentation de
Foucault, et de la relation entre les idées et leur contexte historique,
présent lors de linterview de lexpert, rédaction dun partie
de conclusion.
Tuteur : Mathieu Hilgers mathilgers@hotmail.com
Expert : Sylvain Isaac
Introduction
des auteurs :
Avant de donner la position des auteurs
sur le sujet, il est important de les situer dans lhistoire car les idées
développées nont de sens que remises dans leur contexte
historique.
Nous allons donc commencer par décrire
brièvemute;crire
brièvement le contexte historique propre à chacun des auteurs.
Le premier auteur analysé
est Machiavel (1469 1527).
Machiavel est issu de la bourgeoisie
florentine du XVe siècle.
En cette époque de la Renaissance,
l'Italie est morcelée.
La carrière politique de
Machiavel est intimement liée aux vicissitudes historiques du temps.
L'Italie de l'époque était profondément divisée,
en butte aux ambitions conquérantes des Français et des Espagnols.
Les princes des différents Etats se livrent des " guerres privées
" et les Etats du Nord sont sans cesse harcelés par les attaques
françaises. Lorsque la famille Médicis renverse la république,
Machiavel produit quelques ouvrages flatteurs pour ceux qui sont au pouvoir
sous peine dêtre exilé. Il laisse entendre que cette situation
est tout à fait normale et donne même des conseils au Prince
pour laider à conserver sa place. Les moyens de communications
à l'époque rendaient la divulgation des idées bien
plus laborieuse et les foyers de révolte éacute;volte étaient plus facilement
écrasés.
La pensée de Machiavel s'enracine
aussi dans la tradition philosophique classique : la Politique d'Aristote,
mais aussi le Traité des Devoirs de Cicéron, sans
oublier les nombreux écrits de l'époque médiévale
(Les Miroirs des Princes) sur les vertus du bon souverain.
Le deuxième auteur est Karl
Marx (1818 1883).
Le 19ème siècle est
quant à lui fortement marqué par les débuts de l'industrialisation
: des machines commencent à remplacer la main duvre ouvrière
et les dirigeants dindustries veulent augmenter davantage leur capitaux
en produisant plus avec la même main duvre (c'est à dire
plus de travail pour louvrier pour le même salaire) ou en embauchant
moins. L'opposition entre classe dirigeante et classe ouvrière se
raffermit. Dépourvue de moyens de production, la classe ouvrière
se voit réduite à vendre sa force de travail. Linsécurité
de lemploi et la misère éveille chez elle le sens de la
solidarité. Marx est clairement marqué par linégalité
égalité
des classes uniquement due à une différence de pouvoir entre
les hommes riches et les pauvres. Mar
les hommes riches et les pauvres. Marx incitera le prolétariat à
se révolter et à renverser le pouvoir.
Le troisième et dernier auteur
est Michel Foucault (1926 1984).
Foucault vit à une époque
où la démocratie est le système politique en place
dans la plupart des pays. La société n'est plus vraiment
divisée en classes, tous le monde est sur le même pied d'égalité
et les rapports de pouvoirs entre individus sont plus subtiles. Le développement
des moyens de communication et de la technologie a favorisé un brassage
de cultures et de personnes de différents secteurs d'activité.
Les influences principales de Foucault
sont celles de Marx, Nietzsche, Freud, Bachelard, Canguilhem et Heidegger.
Argumentation
:
MachiavelMachiavel
Résumons tout dabord la théorie
de Machiavel. Dans son ouvrage l;orie
de Machiavel. Dans son ouvrage le plus célèbre, Le Prince,
ce philosophe nous enseigne la manière de bien diriger un État.
Et pour ce faire, il analyse les erreurs, les qualités, les dons
de certains princes de son époque. Machiavel instaure une nouvelle
manière de voir en philosophie : il suit une démarche scientifique,
rationnelle et rigoureuse.
Ainsi, un bon Prince ne doit pas
receler (ou plutôt montrer) uniquement des qualités dans ce
monde où le bien est lexception. Il doit de plus camoufler certains
de ses défauts qui lui seraient nuisibles, ainsi que certaines qualités
qui seraient mal vues de son peuple. Par contre, certaines vertus sont
essentielles chez un Prince et sil ne les possède pas, il doit
feindre de les avoir. Machiavel a également remarqué que
la ruse lemporte sur la loyauté. En fait, le Prince doit être
renard et lion, cest-à-dire quil doit diriger avec ruse et force
en combinant bien les deux.
Machiavel pense également
quun Prince ne doit pas tenir sa promesse coûte que coûte
: il ne doit le fc;te
: il ne doit le faire que si les conditions dans lesquelles il a promis
sont toujours réunies. En bref, puisque le peuple ne tient pas toujours
ses promesses, lee tient pas toujours
ses promesses, le Prince ny est pas forcé si les conséquences
de sa promesse lui sont alors néfastes. Il insiste aussi sur le
fait quil faut savoir simuler et dissimuler. Cet art-là peut permettre
à un chef dEtat dassurer son maintien et son succès.
Le Prince nous fournit aussi une
analyse de la masse populaire : " les gens jugent plus par leurs yeux que
par leurs mains " (ce qui justifie que le Prince peut feindre sa personnalité
puisque peu de gens connaissent à fond cet homme et ce petit nombre
nosera pas sattaquer au pouvoir souverain), les hommes considèrent
le résultat avant tout (" Le vulgaire est toujours séduit
par lapparence et par lévénement : et le vulgaire ne fait-il
pas le monde ? ") ; ensuite, Machiavel nous dit que le petit nombre nest
écouté que si la majorité ne sait que faire. Il faut
donc que le prince satisfasse le peuple sans chagriner les grands. Enfin,
une division du pouvoir simpose : elle satisfera les grands et permettra
au chef de se garder les tâches qui plaisent au peuple.
En somme, Machiavel nou somme, Machiavel nous peint le
portrait du bon Prince en ne sattachant pas à la morale mais plus
au résultat. Cest pour cette raison quil peut parfois paraître
cynique.&nbs parfois paraître
cynique.
Il est intéressant de faire
une étude microsociologique, c'est-à-dire une étude
basée sur le comportement individuel des acteurs, des travaux de
Machiavel aujourd'hui. En effet, il n'existe plus vraiment d'Etats où
règne un Prince sur ses sujets : mais de telles relations de pouvoir
existent encore de nos jours, par exemple entre un patron et un employé.
Marx
Parlons maintenant de la théorie de Marx. Celle-ci étant
éminemment complexe, nous allons nous limiter aux grandes lignes
qui la constituent. Karl Marx ; lorsquil énonce sa théorie,
se base sur une analyse économique de la société capitaliste
dans laquelle il vit. Pour lui, ce monde peut être scindé
en deux : dune part, il y a les capitalistes qui dirigent une entreprise
; et dautre part, on trouve les travailleurs qui se font exploiter. Marx
nous dit que les ouvriers effectuent un surtravail - ou en dautres mots
un excès de travail - par rapport à leur rémunération.
Et ce surtravail permet aux casurtravail permet aux capitalistes dempocher une plus-value importante
sur les biens de consommation. Ceci maintient le travailleur dans une situation
de " survie ".
Au décompte, les capitalistes détienncompte, les capitalistes détiennent le matériel,
la matière première et la force de travail (les infrastructures)
et les travailleurs reçoivent un salaire leur permettant juste de
survivre et les obligent à continuer de travailler. Marx termine
son raisonnement en affirmant que les patrons ont le pouvoir et forment
la classe dominante (puisquils possèdent le capital) tandis que
le prolétariat forme la classe des dominés. Lécart
entre ces classes ne peut faire, selon lui, quaugmenter. Pour ce faire,
les capitalistes créent des lois, une politique et des idéologies
qui vont perpétuer ce mode de vie : la superstructure.
Mais Marx va beaucoup plus loin. Il souvre aussi à toutes les
autres époques et les décrit en termes de rapports économiques,
de modes de production et dexploitation. Ceci, explique-t-il, définit
une certaine forme de pouvoir. Le philosophe allemand parle également
de lhistoire : il sagit, selon lui, de lensemble des transformations
dues aux révoltes des classes dominées à chaque époque.
Ces périodes de révolution permettent dintroduire de nouvelles
valeurs, nouvelles
valeurs, de nouveaux rapports de production, etc.
Plus particulièrement, dans nos extraits de Lidéologie
allemande, Marx énonce le fait suivant : les idénonce le fait suivant : les idées dominantes
dune époque sont dictées par la classe dominante du moment.
Il faudrait donc replacer tout dans son contexte historique. Dans son livre,
Marx parle, comme Machiavel, de la division du pouvoir : celle-ci se fait
entre le travail matériel et le travail intellectuel.
Karl Marx aborde également le thème de la lutte des classes
et explique que la classe révolutionnaire doit toujours exprimer
son intérêt comme lintérêt général.
Mais lorsquelle arrive au pouvoir, cette classe va devoir tenter de conserver
le pouvoir et son intérêt va vite changer en un intérêt
particulier dune classe particulière. Cest à ce moment
quon saperçoit que la domination dune classe nest pas due à
la domination de certaines idées.
Donc, Marx tente de décrire la société grâce
à léconomie et se place du côté des dominés
pour les aider à trouver la solution : une transition par la dictature
du prolétariat qui se terminerait en un partage collectif des biens.
Foucault
Foucault a étudié pas mal de domaines. Il sest ainsi
intéressé à la folie, à la science historique,
aux prisonniers, &agravce historique,
aux prisonniers, à la sexualité, etc. Ce qui nous intéressera
plus dans le cadre de ce travail est sa vision du pouvoir dans son livre
"Volonté de savoir". Pour commencer, il définit le
pouvoir dont il parle. C'est :
-
l'ensemble des rapports de force d'un domaine qui régissent une
organisation;
-
la modification de ces rapports de force;
-
les chaînes de rapports de force (hiérarchie) ou les fossés
entre ces rapports;
-
les organisations, stratégies dans lesquelles ces rapports existent.
Le monde est fait d'états de pouvoir locaux et instables. Le pouvoir
vient de partout (omniprésence du pouvoir) mais n'englobe pas tout.
Foucault reconnaît l'existence "DU" pouvoir, qui est l'effet d'ensemble
de tous les rapports de force. Pour Foucault, ces rapports peuvent se prolonger
en guerre ou en politique. La guerre et la politique sont deux stratégies
différentes pour intégrer ces rapports de force déséquilibrés,
hétérogènes, instables, tendres.
Foucault &s, tendres.
Foucault énonce alors dans ce même axe, cinq propositions
sur le pouvoir :
-
le pouvoir n'est pas une entité délimitée : il s'exerce
de partout, tout le temps; limitée : il s'exerce
de partout, tout le temps;
-
les relations de pouvoir sont à la base d'autres relations (sociales,
sexuelles, processus économique) et inversement;
-
le pouvoir vient d'en bas , ce qui, selon notre interprétation,
soppose à lidée domniprésence du pouvoir. Comme
le pouvoir vient den bas, les relations de pouvoir s'enchaînent
les unes aux autres pour finalement faire apparaître un clivage social;
en fait, Foucault s'oppose ici au clivage binaire, à la dualité
dominant/dominé qui prévalait chez Machiavel et Marx;
-
le pouvoir prend sa source dans les visées et les objectifs de chacun
mais pas de ceux d'un seul homme.
-
le pouvoir implique une résistance et inversement. Les points de
résistance sont les appuis, les cibles des relations de pouvoir.
Donc, la résistance n'est pas extérieure au pouvoir, elle
est inhérente à celui-ci. Mais ces résistances ne
sont ni passives ni vouées à l'échec. En fait, les
points de résistance et les points de pouvoir sont r et les points de pouvoir sont répartis
plus ou moins identiquement.
-
C'est dans ce champ de rapports de force qu'il faut analyser les mécanismes
du pouvoir.
Conclusion
En conclusion, les trois auteurs nous apprennent des choses intéressantes
à partir de points de vue différents découlant directement
de lépoque à laquelle ils vivaient.
Machiavel pose les bases de ce qui sera par après appelé
le réalisme politique par sa conception utilitariste du pouvoir.
Celle-ci est encore très vraie dans notre société,
ce qui rend sa théorie toujours actuelle. Hélas le contexte
historique ne lui permettait pas danalyser une autre forme de pouvoir
que celle centrée en un prince, doù une théorie assez
limitée vue la complexité de la structure du pouvoir aujourdhui.
Un autre point intéressant développé par Machiavel
est quand il explique la façon dont le Prince doit se comporter
pour conserver le pouvoir. se comporter
pour conserver le pouvoir. Cest dautant plus remarquable que cest encore
très vrai aujourdhui. Il fut le premier à dire que le paraître
et le résultat obtenu sont plus importants que la manière
de lobtenir.
La théorie de Machiavel est tout à fait applicable et
fut dailleurs longtemps appliquée (puisque ce que Machiavel sque ce que Machiavel a réalisé
tient du réalisme politique).
Marx analyse la société en posant que léconomie
est la base de tous rapports. Selon lui les relations de pouvoir et la
place dans la société dépendent uniquement du revenu
et de la situation économique de chaque individu Dans son uvre,
il critique la société et ouvre la voie à des révoltes
ouvrières. Il pousse le prolétariat à se révolter
car cette domination de la classe ouvrière est nécessaire
pour lévolution de la structure sociale et politique en place et
engendrera la création dune société sans classes.
Karl Marx ne se limitait pas uniquement à un rôle de philosophe,
de théoricien : il est également passé à la
pratique en réunissant la classe dominée afin de lui permettre
daméliorer sa condition. Cependant, il nétait pas à
labri de toutes critiques. De fgrave;
labri de toutes critiques. De fait, lorsque Marx nous dit que toute théorie
est influencée par lidéologie dominante de son époque,
il omet de se critiquer lui-même.
La théorie de Marx nous semble quelque peu utopique. En fait,
elle fut à lorigine du communisme de Lénine et de Staline,
mais ceux-ci utiline,
mais ceux-ci utilisèrent les écrits de Marx pour leur seul
profit, un peu à la manière du Prince de Machiavel. Le problème
est donc de trouver quelquun qui applique la théorie marxienne
sans la remodeler à sa façon pour son intérêt
personnel.
Marx, tout comme Machiavel, conçoit le pouvoir comme émergeant
dun nud central et se répercutant jusquaux confins de la structure
sociale. Foucault dans son analyse suit la démarche inverse, il
réfute lexistence de ce nud central et part de la base de la pyramide
pour arriver au sommet. Bien que son étude relève dun certain
structuralisme, il ne cherche pas à construire, contrairement à
Marx, un nouveau système de pouvoir. Foucault dans son analyse de
la micro physique du pouvoir va cependant plus loin, en ce sens quil affirme
et montre quil y a dans toute relation des rapports de pouvoir, il dépasse
donc la simple interprétation de ses deux prédécesseurs
qui nenvisagédécesseurs
qui nenvisageaient le pouvoir que comme rapport de domination toujours
reliés à la structure étatique. Cette notion de micro
pouvoirs couvre un champ bien plus vaste, et si sa théorie nest
pas exempte derreurs, elle est indubitablement plus intéressante
que la simple vision à sense vision à sens unique de Marx et de Machiavel.
La grande pensée à retenir de ce travail est finalement
le conditionnement des idéologies dune époque par le contexte
historique et social, ce qui est finalement tout à fait logique
; une idéologie est une solution " meilleure " proposée par
un observateur qui réagit forcément par rapport à
la situation actuelle, et en regard des expériences du passé,
à limage dune tour qui se construit au fur et à mesure
de lhistoire, une accumulation des faits, des idées, des courants
de pensées et des élaborations philosophiques ou politiques
des nombreuses conceptions qui ont pu être imaginées quant
à lorganisation dun État. Bien entendu, les différences
idéologiques existant au sein dune même époque résultent
des différences entre les individus, de la complexité et
de la diversité des mentalités conduisant à lexistence
de " classes ", et des ; lexistence
de " classes ", et des rapports qui découlent de ces différences,
car après tout, on napprend de nouvelles choses que parce que nous
sommes tous différents.
Bibliographie
:
Atlas historique , édition Stock, 1968, pages 213, 338,
340, 376
Machiavel N., Le Prince, 1513
Encyclopédie Universalis, France, 1990, Tome 14, p174-176,
p651-654
Tome 9, p746-747
Mémo Larousse , Marx et Marxisme
Marx et Hegel, Manifeste du Parti communiste, 1848
Grand Larousse en 5 volumes, 1987, Éditions Larousse
Encyclopaedia Universalis, 1996
Encyclopédie Encarta, 1998 et 1997, Microsoft (CD-ROM)
Nandrin J.P., Histoire des idées politiques
Marx, Contribution à la critique de léconomie
Poulantzas N., petite collection maspero, Pouvoir politique et classes
sociales
Site Web: www.microtec.net/pcbcr/mach.html
(Idées de Machiavel)
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